Me demander de dire un mot sur la société civile, les médias et l’engagement citoyen en la terre du Faso de Sankara, celle des révoltes d’octobre 2014, c’est m’obliger à être très peu pertinent, à n’avoir presque rien à dire. Puisqu’ici, l’Histoire a déjà tout dit ! N’est-ce pas là me soumettre à un exercice périlleux d’autant qu’il m’est fait injonction de scruter
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